SFR, le retour d'un ancien ennemi(Yun Kasoka + libre)

7h00

C'est fou... ça fait deux ans que j'ai fait taire la SFR et aujourd'hui je lis dans le journal que ce corps de l'armée va être reformé avec de nouveaux capitaines et un nouveau général. Il paraissait qu'ils étaient bien plus compétent que les précédents. Mais je n’ai pas trouvé très futé leur promesse: pour leur nouvelle formation, il voulait tuer celui qui avait massacré les anciens gradés. J'ai fait non de la tête lentement en me disant que j'allais être une grosse source d'ennui pour mon clan et pour les autres soit dit en passant. La SFR ne fait pas dans le précision, il pourrait détruit la moitié de la planète pour tuer une simple fourmi. Bon j'exagère, mais c'est dire combien ils ne sont pas à la hauteur de leur réputation.

J'ai laissé le journal là, suis monté dans ma chambre ai préparé mes armes. Je n'avais pas de temps à perdre, je devais rapidement arrêter la SFR avant qu'ils ne déploient leur troupes ici. Ils doivent me trouver au plus vite pour lâcher la ville et la forêt sera parfaite. En me dirigeant dehors, j'ai pris un bout de papier et y ai écrit avec mon écriture qui est des plus horribles:

Amis Hatano, je dois partir pour votre sécurité. Mais je reviendrai dès que mon problème sera réglé. Ne me suivez surtout pas, vous vous attirerez de gros ennuis et je ne veux pas vous mettre dans une guerre qui ne vous regarde pas. N'allez surtout pas dans la forêt.

Yun

8h03

Après avoir écrit ça, je suis parti sans autres. Je suis passé par la porte et ai couru dans la forêt, ça m'a pris un peu plus d'une heure de course. Chaque minutes étaient importantes et je devais trouver les forces de la SFR qui rôdaient déjà sûrement dans la forêt. La SFR était spécialisée dans les combat dans la nature, alors il était logique que je fouille en premier la forêt. Arme au poing et sens en éveils, je m'enfonçais dans le territoire de prédilection des soldats adverses, en direction de mon camp. Ils ne devaient trouver ce que j'ai découvert avant de retourner à la civilisation.

Je me réveillais, 6h30 du matin, ces temps ci je n'arrivais pas a dormir plus de 5h par nuit, des rêves qui se transforment en cauchemars ça m'arrive souvent. Mais ces temps ci ils sont plus dure, plus cauchemardesque que les précédents. Je mettais réveillée en sursauts et n'avais pas réussis a me rendormir.

Je pris une douche et m'habillai, je partis en direction de la grande salle où l'ont mange d'habitude. Mon ventre avait faim, en ce moment je ne mange pratiquement pas , pourquoi? Je n'en sais rien. Bref j'y allais d'un pas lent, je n'étais pas tout a fait réveillée encore malgré la douche.

J'arrivais dans la grande salle, il y avait du pain, du lait, etc de quoi nourrir une famille entière. Je m'assis mais remarquai sur la table un bout de papier où était écris un message de Yun, je le lus, enfin j'essayais de le déchiffrais plutôt car l'écriture n'était pas de haut niveau. Il y était écris qu'il devait partir pour ne pas nous mettre en danger. Ne pas nous mettre en danger? On est un clan entier, une villa où il y a beaucoup de combattants expérimentés. Il nous disait de ne pas le suivre. Je me mis a sourire après avoir lus; "N'allez surtout pas dans la forêt."

C'était une erreur qu'il avait faite. Bien sur nous n'allions pas le suivre mais nous donner juste après l'endroit où il allait...

Je me levais allais prendre mes deux armes favorites et partis de la villa. Je déchirai et mis le bout de papier dans la poubelle au passage. Je me dirigeais vers la forêt et sautai d'arbres en arbres, ma respiration devenais plus lente, je me reposais sur une branche, m'assis sur elle et entendis des bruits de pas. Je sautais devant Yun a quelques centimètres de son visage et lui dis:

Bah alors on pars sans rien dire?

Je lui souris et continuais.

Bon ils sont où "ce que tu vas tuer seul"

Je le regardais

Et surtout m'oblige pas a retourner dans la villa, t'y arrivera pas




(P.S: je viens de lire les archives et moi je t'en fais pas bavereuh pff... N'importe quoi!!!!!!! *boude*!!)

Je marchais dans la forêt, avec un minimum de bruit et mes sens en éveille. Je tentais de déceler le moindre mouvement suspect et me retournais frequement pour vérifier mes arrières. J'avais mon fusil d'assaut aux poings. J'espèrais bien ne pas voir arriver Miyu ou un autre membres de mon clan, mais ej fus bien déçu de voir Miyu apparaître à l'improviste juste en face de moi. Je n'aurais pas dû mettre où j'allais. Je suis bête des fois... Toujours avec mon air inexpressif, je lui dit:

-Miyu, j'ai mes raisons de partir seul. Et je croie bien que tu as raté le passage qui parlait de guerre. Ce n'est pas à prendre à la légère. On a pas simplement des gars armées avec des armes au hasard ou un peu n'importe comment. En face, il y a sûrement des armes à feu bien plus puissantes que les miennes, sans compter une armée d'hommes et de véhicules prêts à nous écraser. Ce n'est pas avec tes poignards que tu risque d'aller loin. Moi-meme je ne suis pas sûr d'y arriver, apèrs... si j'y arrive. Je sens que l'Etat va me rechercher. Seul à avoir vaincu la SFR à l'âge de 16 ans et aujourd'hui, deux ans après, l'histoire risque de se répéter. Je connais déjà ma fin., une balle logée dans une de mes artères... mais je ne me laisserai pas tuer sans me défendre.

Je pris un air un peu triste et baissa la tête

-Je ne veux pas que toi, ou n'importe qui du clan soyez blessé ou encore tué par ma faute. C'est moi qui est fait des conneries, à moi d'assumer, seul. ... Si je meurs sache que... enfin... laisse tomber. C'est inutile que je te le dise.

Je l'ai contourné et me suis enfoncé plus dans la forêt pour rejoindre mon campement. Par miracle, il n'avait pas été touché. Ce que je voulais en tout cas pas. Emprisonnée dans un coffre en bois que j'avais construite et dont les face se faisaient noir de corruption, l'épée que j'avais trouvé il y a de cela quelques mois n'avait pas bougé. Dès que je l'ai touché, je sentis son énérgie négative se répendre en moi, noircissant ma peau. J'avais déjà était beaucoup à son contact, elle avait un peu racien en moi et je la suspectais d'avoir une volonté propre. Je l'ai empoigné et l'ai mise à mon dos. J'ai toujours pas compris pourquoi, mais elle restait fixé à mon dos quand je la mettait là. Pratique oui, mais il y a toujours ce contact entre elle et moi. Je devenais en général plus agressif avec elle que sans.

J'ai pris le temps de faire une petite pose. Il était environ 9h00.

Oui j'avais zappé le passage de la guerre ou alors je l'avais lus en survolant. Enfin il ne voulait pas nous entrainer la dedans et il voulait les combattre seul.... Mouhais combattre seul une armée c'était peut être faisable mais par un miracle enfin je ne connaissais pas son passé....
Une armée d'hommes, des armes puissantes et oh! Mon petit Yun peut être que tu as battus la SFR a l'âge de 16ans ou peut être qu'avec mes poignard je ne ferais pas grand chose mais au moins je l'aiderais.

Enfin si il croyais me faire peur avec ça il ne me connaissait pas très bien. Il baissa la tête et me dis quelques mots, il me contourna. Je repartis en direction de la villa et quand j'entendis que ses pas étaient lointain, je m'arrêtai et grimpa dans les arbres. Je le suivis, au bruit de ses pas, en faisant le moins de bruit possible. Je le vie qui s'arrêta dans un espèce de camp, a moitié abandonné. Je descendis d'un arbre sans faire trop de bruit, a 10 mètres du camp. Je le voyais de dos il s'avança vers un coffre et l'ouvris. Il en sortis une épée immense et violette.
Il s'assit et pris le temps d'une pause. Je profitais de cet instant pour contourner le camp et arriver derrière lui, je m'accroupis et me mis contre lui, je l'enlaçais par le cou avec un de mes poignard et lui fis :

Bouh. Tu peux pas te débarrasser de moi comme ça. Et puis jai une question... Tu compte t'y prendre comment pour les combattre? Tu crois qu'une simple épée peut le faire. Enfin je ne connais pas les pouvoir de cette épée après tout peut être quelle peut détruire une armée entière

Je me levais et m'assis a côté de lui

Et même si tu peux les combattre a toi tout seul j'aimerais bien savoir pourquoi il t'en veulent.... Je suis curieuse comme fille faut pas m'en vouloir mais je ne te laisserais pas tuer aussi facilement même si pour l'instant jai aucune sympathie pour toi mais bon tu es un atout pour notre clan.

Je regardais par terre, peaufinant mon plan de bataille. Foncer dans le tas était le meilleur moyen de mourir. Mon seul choix était l'élimination directe des capitaines et du général de la SFR. Je fut sorti de mes pensées lorsque j'ai sentis des bras autour de mon coup et un poignard. Je reconnut l'arme de Miyu et l'ai écouté me parler. Elle s'assit à mes côtés et quand elle cessa de parler, je pus tout lui expliquer:

-Miyu... cette épée... elle est possédée, si je me trompe pas. Elle doit contenir quelque chose de démoniaque. A son contact, toute chose est corrompue.

Je pris l'épée en main pour lui montrer que ma main, à son contact, noircissait. Je remit la lame à mon dos et continua:

-Je ne sais pas ce que ça fais d'être trop au contact d'elle, mais je sais qu'elle peu pourfendre de la pierre comme du papier, voir plus solide. Elle ne me sauvera pas seule, mais je deviens plus agressif au combat. J'ai plus de rage de vaincre, même plus de crainte pour ma vie.

Je soupirais et répondit à la seconde question de Miyu:

-Pour ce qui fait qu'ils m'en veulent... et bien, j'avais 14 ans. On m'avait envoyé dans cette forêt pour butter un chef de clan. Je ne sais plus qui exactement. J'en avais assez de leur obéir. Une bande d'incapable à l'époque. J'étais plus compétent que leur capitaines et cela leur à valut la mort deux ans après. La SFR avait été disoute peu après la mort de leur général principale. J'ai vu dans le journal d'aujourd'hui que la SFR avait été reformée et que pour ... "fêter" leur retour ils allaient abattre celui qui a fait dissoudre l'ancienne SFR. Je tiens à ma vie et à celles des membres du clan Hatano. Mais pour dire, si la SFR se met en tête que les Hatano sont avec moi, il s'en prendront à la ville entière. Tout les clans seraient mis an danger et les armes légendaires prises par les gars de la SFR. Ils ne doivent pas mettre la main dessus. Et à partir de la même le plus puissant corps d'armée du pays serait incapable de faire face à la menace. Bon... tu est curieuse et tenace, j'aime ça chez toi.

Je souris étrangement. Ce fut vite réprimé par mon air habituel.

-Bon, je dois y aller. La SFR ne va pas m'attendre pour dîner. Si tu veux me suivre vas-y. Je te couvrirai si besoin est.

Je me suis levé et ai marché vers l'anceinen base de la SFR. L'endroit que serai logiquement le plus probable pour trouver des indices.

Il m'expliqua tout ce qui s'était passer. J'écoutais , des détailles me surprenaient mais je ne le montrais pas. J'avais du mal a croire tout ça et pourquoi les SFR voulaient tuer les chef de clan et prendre les armes légendaires... Enfin je ne dis rien il me souris et je lui rendis un sourire bref lorsqu'il reprenait son air habituel. J'avais du mal a comprendre mais bon tant pis tout ce que je savais c'est que j'avais une part a jouer même si cela faisais longtemps que la SFR voulait tuer un chef de clan même si je ne savais pas lequel, j'avais une raison d'aider Yun a les tuer... Même si son épée et ça rage ,en sa possession , pouvais l'aider à les tuer j'allais l'aider. Je ne savais pas encore comment, peut être que j'allais être inutile ou encombrante mais je n'allais pas le laisser partir tout seul...

Il se leva et me dis que je pouvais le suivre. Il repartis et j'attendis quelques instant avant de le suivre. Je le rejoignis en courant et marcha a côté de lui je lui demandais, avec mon ton habituel de voix, qui ne fais ni transparaître tristesse ou colère, même si j'étais un peux chamboulée, je me demandais si j'allais vraiment le suivre si j'allais être utile...:

Bon on va où?! Et comment tu comptes t'y prendre pour les combattre?

J'attendis quelques instants il ne me répondis pas tout de suite, je continuais a le suivre en regardant droit devant moi, a l'affut de tout les bruit de la nature, un silence régnait.

Après un moment de marche Miyu me posa cette question à laquelle j'eut un peu de mal à me décider quoi répondre. J'ai finis par lui dire:

-Nous allons à la base de l'ancienne SFR. Je suspecte l'endroit d'être le repaire de la nouvelle SFR. Au pire on trouvera des armes et des équipement divers, où peut-être des indices sur quel endroit pourrait être la nouvelle base. Enfin je sais pas trop. Et comment je compte les battre? A vrai dire j'y réfléchissais jusqu'à ce que tu arrives. Le seul moyen de faire en sorte que leur agissements cessent est ma mort. Si la SFR n'arrive pas à ses fins, d'autres corps d'armée vont être déployé. Et à partir de là, il faudra s'inquiéter. Je te l'ai déjà dis, je sais comment je vais mourir, mais je ferai tout pour la retarder et par la même occasion retarder la mort de mes amis et alliés. J'irai même à me sacrifier pour toi ou un autre allié.

A un peu près 9h40 nous arrivions à la base. Elle semblait à l'abandon. J'ai dit à Miyu de rester là, que j'allais en éclaireur. Baissé, j'avançais vers la batisse, mon arme pointant vers les potentielles cachettes. Aucun mouvement détecté. Je me plaqua contre le mur et fis signe à Myiu de venir. A peine j'ai fait ce signe que j'ai entendu des bruits de bottes frottant le sol métallique du la base. J'ai à peine jeter un coup d'oeil que j'ai repéré trois soldats en tenue de la SFR, de couleurs différentes seulement. Je me suis rapidement plaqué contre le mur. J'attendais Miyu pour frapper l'ennemi.

J'entendis des bruits proche près de Yun. Je ne bougeais pas mais je sentis une présence proche. Je me mis en position de garde quand je sentis un violent coup au niveau du bas du dos. Je poussai un cris de douleur et m'écroulai a terre. J'essayais de me relever tant bien que mal. Je voyais Yun qui s'était fais prendre par un membre de cette SFR.

L'homme s'approcha de moi, je sortais mes poignard et sauta. J'essayais de ne pas penser a la douleur. Yun se débrouillait avec un des soldats. Je sentais que l'homme m'attrapa la jambe pour me ramener a terre, j'en profitai pour lui mettre un coup de pieds au niveau du visage.
Je me dégager et atterris par terre, j'en profitai pour regarder le visage de l'autre. Il saignait du nez et charger déjà vers moi. Plusieurs autres s'y mire, je fus encerclée. Ils chargeaient tous en ma direction, espérant que je n'allais pas les éviter mais si. Je sautais sur un muret qui était proche et leur fis signe. Ils me regardèrent d'un air mauvais. Mon coeur battait, j'avais une envie de les tuer, une envie presque surnaturelle.

Deux hommes essayèrent de monter le muret mais je les en empêchais en leur écrasant les mains et en leur tranchant le coup et en leur crevant les yeux. Ils gisaient par terre, ils étaient couvert de sang. Je fus poussée par un qui m'attrapa la jambe, je criais de douleur et m'écroulai par terre. On m'avait assommée.


Je me réveillais plusieurs heures ou minutes, je ne savais pas, attachée avec un mal de tête. Tout étaient flou quand j'ouvris les yeux et puis tout devenaient clair. Je sentais l'humidité et la froideur de la pièce où j'étais. Je pouvais distinguer, grâce a la lumière de la lune parmi une petite fenêtre a barreaux, les murs de bétons et quelqu'un d'autre dans la pièce. Je ne pouvais pas bougée et dis :

Yun?

J'entendis une petite voix a peine audible.

Jusqu'à ce que Miyu s'approche, tout allait bien. J'étais loin de me douter que c'était une ambuscade. Deux ou trois autres soldats sortirent de leurs planques et nous agressèrent comme ceux à l'intérieur de la base. Ce qui m'étonna fut qu'ils n'utilisaient pas leur armes. Cela ne m'a pas empêché d'user les miennes. Avec mon fusil d'assaut j'ai abattu ceux dans le batiment. Mais je fut pris au dépourvu en voyant d'autres soldats débouler. J'ai mis certains des nouveaux arrivants à terre, avant de me mettre à couvert. ötait-ce une embuscade préméditée, ou des coïncidence qui faisaient que nous soyons mis à mal?

Alors que je rechargeais mon arme en vitesse, je senti un coup au dos. L'épée avait amortie le choc, mais il restait assez puissant pour me mettre à terre. A ce moment précis, je ne sais ce qui se passait en moi. Un mélange entre rage folle et de désespoir naquit de ce coup. Je perdais peu à peu le contrôle de mon corps. Sans même le vouloir, ma main gauche prenait l'épée noire, se laissant corrompre, et la brandit alors que je me relevai dans un cri rageur. Le soldat qui m'avait agressé recula précipitamment.

Leur riposte fut lente, j'avais déjà massacré trois d'entre eux, avec l'épée, sans qu'ils ne réagissent concrètement. Ils se mirent à plusieurs sur moi pour me calmer et me mettre hors d'état de nuire. Leurs poids sur mon dos finit par avoir raison de ma posséssion et je fut mis à terre comme ça. Ma folie passagère était sûrement due à l'épée. Ils me retournèrent et un me frappa au visage avec ses ranger. Je perdit connaissance tout de suite.

...

Quand je reprit connaissance, j'étais attaché et mon nez saignait encore. J'avais été réveillé par la voix de Miyu. Je gémit dans un premier temps avant de dire:

Miyu? Miyu, c'est bien toi?

Je lui répondis dans un gémissement de douleur:

Oui

Je pleurais en me débattant. J'entendis des pas venir de l'extérieur. Deux gardes entrèrent, un se dirigea vers moi et l'autre vers Yun. Je me débattais mais le garde se mis a ma hauteur et me souris. Il était grand et musclé. Le genre de personne a qui on aimerait pas se frotter. Il me pris le visage et me souris.

Mmm Tes mignonne comme fille aller chuut laisses toi faire .

Je murmurais un salaud, il me regarda quelques instants

Répètes ce que tu viens de dire un peu

Il me mis une baffe et je poussais un gémissement. J'avais la joue rouge et l'autre se mit à rire

Et ça gémis comme une salope. Ma p'tite tu tes mis dans un sacré merdier. Tu dois être vraiment bordée pour avoir suivis Yun jusqu'ici.

Je le regardais d'un regard effrayé.

En plus tu ne semble pas humaine, tu as plutôt l'air d'un chat. Je crois qu'on pourrait te traiter comme un animal maintenant ten pense quoi toi?

Il s'adressait a l'autre garde qui lui souris. Je voyais Yun bien plus blesser que moi. Le garde me regarda et souris, il me détacha et m'en mis une autre, je poussais un gémissement et me traina jusqu'a une autre salle, j'entendais les cris de Yun dans la cellule où j'étais avant.

On arriva dans une salle, le garde me poussai dedans. J'avais peur, une peur que je n'avais jamais ressentis auparavant. Mon coeur se serrait. Je découvrit alors des centaine de gardes formèrent un rond autour de moi. Le garde me jeta a terre et dis:

Cet animal, car on ne peut pas dire que c'est une humaine, a tué plusieurs de nos compatriote, plusieurs de nos compagnons avec un plaisir mais maintenant c'est a vous de lui faire du mal de vous faire plaisir. Vous pouvez la traiter comme un animal allez y faites vous plaisir. Yun, oui ce Yun dont on entend parler depuis toujours viendra la rejoindre après!

Des rires et des cris de joie se firent entendre. Un coup partis dans mon ventre et plusieurs suivirent, je criais de douleur, je crachais du sang mais je tenus quand même. Un dit:

Putin la salope tiens encore.

Il me mis un coup dans le dos, je criais de douleur et mes yeux devinrent sans vie, mais je m'accrochais. On me leva

Regardais la je crois qu'elle a assez souffert. Ce n'est qu'un animal sans vie.

J'ouvris les yeux et leur jeta un regard noir, je me débattais.

Tiens elle tiens encore et bah.... J'ai une idée. On devrait la mettre a notre service vous ne croyez pas, elle sera traitée comme un animal. Qu'esce que t'en dis ma p'tite soit tu meurs soit tu nous sers.

Je dis dans un souffle:

Plutôt mourir

Ils sourirent et un dit:

Tu ne mérites même pas d'être tuée salope.


Tout d'un coup les personnes se retournèrent. On avait amené Yun. Il était énormément blessé.

Quelque part, j'étais heureux d'entendre sa voix, mais cette joie disparu que je vis deux hommes entrer. En fait, il y en avait un que je conaissais. Celui qui s’approcha de moi était Griffin. On avait servi à l'ancienne SFR et on était sacrément amis. Je ne montrais pas ma joie. Lui fit comme si il me haïssait, moi et Miyu. Bon jeu d'acteur je devais avouer. Quand l'autre fut loin avec Miyu, Griffin me parla enfin normalement et me détacha:

-Alors, dans quelle merdier tu te foure encore?

Je répondis:

-Tu me connais. Je me fout toujours dans les embrouilles, mais je m'en sors toujours... mais là c'était chaud.

-Oui, reprit-il, ils veulent t’exécuter devant les caméras de la télévision. Et je vais te dire, une partie de ton bataillon a survécu. Nous ne sommes plus que dix.

-Génial... mais je sors comment d'ici?

-Moi et les autres on a déjà réfléchi à la question. Attends deux secondes.

Il prit son portable et appela un de ses camarades et lui dit:

-Fait péter la boîte de nuit dans vingt seconde, chrono. Griffin terminé.

Il remit son portable dans sa poche, m'amocha et me souleva.

-Faisant comme si j'étais un de ces autres cons de gardes, dit-il.

Au fond de moi, j'étais d'accord avec lui et me laissais faire. Il m'emmena dans la salle où l'autre garde. Je vit plusieurs autres soldats. Sûrement un bataillon complet. Je faisais mine que j'avais les mains attaché.

Ce fut assez court. La salle s'emplit de bruit de coup de feu. Ils venait de l'exterieur et selon les dires de Griffin, ils n'étaient pas assez nombreux pour attaquer une base, mais il y avait bel et bien une attaque. La plus part des soldats partirent défendre la zone. Seuls Griffin et l'autre garde restèrent. Quand nous fûmes seuls, Griffin sorti son arme de poing et abattit l'autre garde. Le bruit de son arme fut couvert par celui de l'attaque.

Il m'emmena plus loin, sans prendre Miyu. J'ai refusé de me laisser faire et lui ai même collé une dans la tronche et ai ajouté:

-Je pars par sans elle.

Je m'approchais d'elle et la détacha tout en lui murmurant:

-Tout vas bien se passer. T'inquiète pas.

Je la pris dans mes bras et l'emmena là où Griffin voulait nous mener: le hangar à véhicule.